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Y a comme une ombre qui me suit, qui sourie dans le noir, qui attend, patiemment que je craque, que je vide ces tubes de comprimé, que je me saisisse de ma lame que je m'entaille, pour venir léché avide ce sang répandue a la gloire de la souffrance . Elle m'enveloppe de son souffle brûlant me crie des horreurs, je tremble.
J'en ai envie, quitte a tout perdre j'ai envie de retenter le voyage... qui sais ce qu'il y a derrière cette porte ?